Nom et Prénom: Silimaurë Lúthien
Age: 30 ans
Année souhaitée: /
Physique (au moins trois lignes):Grande, les oreilles en pointe, blonde, les cheveux très longs et ondulés, les yeux verts, d'un vert intense, transperçant. Elle est assez mince, pour ne pas dire maigre et garde sur le corps les traces de son enfance maltraitée (cicatrices de coups de fouet). Elle n'a pas le sourire facile, son regard et son visage sont toujours triste sauf en de rares occasions. Malgré tout, son visage semble très ouvert, compréhensif et aimable. Son regard lui est terne, mais il n'y a jamais de colère qui passe devant. Elle a sur l'épaule la marque de son esclavage : un signe au fer rouge, le signe de la famille d'humain à laquelle elle a appartenu.
Caractère (au moins trois lignes):douce, reservée, gentille mais blessée. Elle garde de très mauvais souvenirs de son enfance qui ne fut pas heureuse, loin de là. Elle sait rester maîtresse d'elle-même. Elle possède toutes les qualités qu'ont les elfes. C'est une excellente cavalière. Elle parle dans deux langues : le sindarin, sa langue maternelle et le language commun. Son enfance parmi les hommes l'a proféondément marquée. Elle se refuse à suivre les même coutumes qu'eux, se limitant à ce qu'elle sait de son peuple d'origine. Elle voue non pas une haine mais une très grande méfiance à l'égard des Hommes.
Histoire (au moins 6 lignes):Luthien est née parmi les elfes, dans la forêt de Lothlorien. Elle est évidement la fille d'un couple d'elfe. Elle adorait ses parents qui étaient des êtres merveilleux. Mais lors d'un voyage vers Fondcombe pour voir ses cousins, ils tombèrent dans un piège. Son père et sa mère furent tués par les orcs. Elle réussit à s'enfuir et arriva dans une région peuplées d'Homme. Un couple de ceux-ci l'adoptèrent. Elle devint alors leur esclave, battue qd ils n'étaient pas contents, bousculée, detestée par les autres enfants. Elle leur voua rapidement une haine profonde. A l'âge de 11 ans, ses parents adoptifs décidèrent de se débarrasser d'elle... Elle leur otait le pain de la bouche comme ils disaient. Ils l'abandonnèrent donc aux portes de Belegost, où elle grandit et appris à devenir ce qu'elle est maintenant. Depuis ce jour, elle considère Belegost avec crainte et respect. Belegost est synonyme à la fois de malheur... le malheur d'être abandonnée une seconde fois dans un lieu qu'elle ne connait pas, le malheur d'être livrée à elle-même... mais aussi un lieu de bonheur, le bonheur de se faire des amis, le bonheur d'apprendre.